15/07/2002

Le matin, on va visiter le Christ Rédempteur en prenant le Corcovado, un funiculaire construit en 1835. Cette statue géante, un des symboles de Rio, n'a rien de génial, mais bon, la vue est imprenable sur tout ou partie de Rio. Evidemment, comme lorsque j'ai visité l'Empire State Building, le ciel est trop voilé, ce qui n'offrira pas de réel intérêt aux photos que je vais prendre.
L'après-midi, on fait su shopping dans un centre commercial d'Ipanema. J'achète le maillot de bain pour ma cousine chez Bum-Bum le nec plus ultra du maillot de bain brésilien. J'ai choisi le motif " trottoir de Copacobana " azur et noir. Je m'achète un bermuda en souvenir. J'ai pas la fièvre acheteuse pour ces vacances. C'est bien la première fois. Franchement, on trouve les mêmes trucs qu'à Paris. Moins cher, même. Olivier veut ensuite rentre à l'hôtel car il a mal à la tête et les heures de sommeil nous manquent. Il est 15h00. Je n'ai pas trop envie de traîner dans la chambre jusqu'à 20h00. Je décide d'aller me promener seul avec l'appareil photo. Olivier flippe un peu, mais bon, je fais gaffe. Je retourne sur Copa et je décide d'aller en direction de Leme qui offre une vue sur tout Copacabana. Ici, le soleil se couche sur les montagnes. J'ai pas encore trop de chance côté photos. J'ai réussi difficilement à prendre le Copacabana Palace Hôtel. J'essaye de faire une photo du trottoir si célèbre de la plage de Copacabana, dont le dessin est différent de la plage d'Ipanema. J'arrive sur le ponton qui offre en effet une belle vue sur la plage. Je rentre tranquillement, je m'achète même des cigarettes. Un grand garçon, je vous dis !
Pour notre dernière soirée, on s'offre le must de Rio, une " churrasqueria a rodrigio ". C'est sur Leme, le resto s'appelle Marius. Le resto est immense, le cadre très joli entre ocres et orangés. Le buffet à volonté est somptueux : huitres, crabes, langoustes, sushis et plein d'autres trucs pour les entrées. Puis vient ensuite la valse des serveurs. Ils viennent découper à même votre assiette la viande à la broche, succulente. On ne résiste pas non plus aux desserts, pourtant on va exploser.
Pour la dernière soirée, un bon resto et rien d'autre, on est trop crevé.