A peine l'été terminé, voilà qu'une nouvelle saison de real tv recommence sur nos postes de télévisions avec ce soir sur M6, l'étrange concept de faire revivre le pensionnat de province avec son salaud de directeur, "Monsieur Navaron" à nos mioches écervelés (m'est avis qu'ils vont se prendre un gros procès au cul sur M6). M'en fous, je ne regarde pas. Et demain, la nouvelle saison de starac avec dans le rôle du méchant Gérard Louvin himself qui tenait déjà un petit rôle dans la starac III. Comme parrain, ils n'ont pas trouvé mieux que Michel Sardou. Non merci. Le bac G, le bac pour ceux qui sont dérangés. Non merci. Pas pour moi. Enfin, je dis ça... Je sais bien que je regarderai de temps en temps, les primes. Même si, au final, ils sortent tous des albums de merde... (Pour les fans de Steeve, son album n'est pas trop mal, je l'ai écouté à Auchan Bagnolet). Finalement, Starac, c'est un concept qui n'est pas trop mal. C'est le moins pire disons. En fait, en France, on est gâté. On doit avoir 15 ans de retard sur ce genre d'émissions. Ouais. Au moins une génération. Il faut regarder la télévision américaine. Toutes les émissions. Les américains ont une putain d'aisance à se mettre en scène, à jouer la comédie. Faut regarder MTV et ses putains de shows navrants et moralistes. Là , ça commence à faire peur. C'est pour de vrai ? C'est pour de faux ? Hé ouais les gars, on perd nos repères et là , ça commence à devenir ultra dangereux et supra vulgaire. Enfin, en France, on a de la chance, on peut regarder Marjolaine minauder qu'elle préfère une bonne giclée de Johann à 50.000 euros. Ca fait rire tellement, c'est mal joué, ça en devient pathétique.
En ce moment mon truc (j'avoue c'est très mémére, mais j'adore ça) c'est de regarder les chaines de cuisines genre gourmet tv ou cuisine tv.
L'autre fois je suis tombé sur une émission de Robuchon et une autre fois sur Daniel Pinard (quel nom ! il est québéquois ... donc américain) L'un apprenait à faire une sorte d'accompagnement en faisant une sorte de cake de pommes de terre et d'autre légumes , l'autre nous apprenait l'art du dipping (genre la sauce pour tremper ta carotte à l'heure de l'apéritif).
Devinez, où a été ma préférence ?
Perdu.
Vraiment, on n'est pas sorti de l'auberge.