Je suis seul ce WE. Olivier est à Paris. Olivier est souvent à Paris. J'expliquerai pourquoi. pas maintenant. Trop tôt. J'ai bossé toute la journée. Il y avait encore des gens à 17h50 qui voulaient des affiches et des flys alors qu'on ferme le magasin à 18h00 le samedi. N'importe quoi. Ils croient quoi ? Que les copieurs sont micro-onde ? Je les ai envoyés chier un peu méchamment. C'est clair que j'ai la fibre du commerce... C'est comme ces connards d'étudiants avec leur arrogance d'étudiants qui viennent sortir leurs thèses reliées collées et qui voudraient repartir avec pour la soutenir 10 minutes après. N'importe quoi. Le problème de ce métier et donc le stress lié à celui-ci est qu'il faut gérer l'urgence en permanence. Tout le temps. C'est très dur et je n'arrive décidément pas à m'y faire...

Comme c'est la fin de la fraise annonciatrice des soldes eux-mêmes annonciateurs de la rentrée prochaine, elle même annonciatrice de Noël, bref, comme c'est la fin de la fraise, j'ai réussi à négocier chez mon fruitier-légumier habituel des halles de Castellane (il s'appelle Maxime) les 3 barquettes de guarriguettes pour 7 euros, ayant dans l'idée d'en faire "something special" avec le blender que maman m'a offert le noël 2004. La Margarita fraise. La recette, je l'ai trouvée [ici] et le résultat : miam miam, c'est trop trop bon et Maxime est trop trop choupinou (in the top 10 du plus joli cul rebondi de Montpellier).

J'ai nettoyé et équeuté les fraises sous l'eau froide. Je les ai mixées en ajoutant un peu de sirop de sucre de canne. J'ai versé le jus de fraise en y ajoutant 1/3 de téquila, 2 glaçons et roulez jeunesse. Le résultat est totalement divin. 2 barquettes de fraise font convenablement 3-4 margaritas.

Pour les confitures, il faut voir mamie confiture !