On s'était donné rendez-vous dans un bar près de chez lui. Il était déjà là en train de boire une Guiness. J'ai commandé un truc assez fort, une Margharita pour bien me souvenir que cette soirée devait être paradisiaque comme les eaux bleues du Mexique où j'étais allé l'hiver dernier. Une juste idée du paradis, c'est pas le bounty, c'est la Margharita. Il m'a souri quand il a vu le cocktail, moi j'étais super intimidé de passer une soirée avec lui. Enfin seul avec lui. Il fallait que j'assure, ne pas avoir l'air trop con et forcément avoir un avis sur tout. Je n'y connaissais pas grand chose en variétés des années après-guerre. André Claveau, ok, c'est sympa mais bon, ça va cinq minutes. Le regard qu'il portait sur moi était très amical. On a parlé des voyages. Des siens, des miens, de musique afro qu'il adorait, Fela surtout et comme une sublime ironie surgit de nulle part les stones en fond sonore, "Let spend the night together" répétait à qui voulait l'entendre Mick Jagger et moi, j'étais plutôt ok avec lui en battant la mesure avec mon pied et en regardant Laurent plus profondément encore. Il s'est alors marré - je crois que ce mec n'est pas la moitié d'un con - On est sorti ensuite du bar pour rejoindre son appart. Un petit trois pièces coquet dans le centre de Neuilly qui sentait bon l'Eau Sauvage de Christian Dior. Je lui donnais mon blouson, il le prit et me lança mi-sérieux mi-amusé : "les photos tu veux les faire tout de suite ou après le dîner ? Je m'en foutais à vrai dire. Maintenant, après. Moi, j'étais chaud comme la braise. Ben, on peut les faire maintenant si tu veux, ça ne me dérange pas. "Non, moi non plus, c'est vrai que ça creuse ces choses là ! Et je n'ai qu'à réchauffer au micro-onde alors rien ne presse. Je me répétai inlassablement cette petite phrase sybilline qu'il avait laché "ça creuse, ces choses là ..." Ah bon, la photo ça creuse ? Je le vis se ramener alors avec son appareil, et là il me dit : "bon faut te déshabiller maintenant !" Et bing, dans le mille, tu ne pouvais pas viser mieux chéri. Alors qu'il prononçait ces mots, je commençais clairement à bander. Je ne pouvais pas lui montrer ça comme ça. Alors je fis durer le plaisir histoire de débander un peu. "Je me mets comment ?"-"Ben tout nu !" -ok! j'ai commencé par la chaussure gauche, puis la droite ensuite j'ai enlevé ma chaussette gauche, puis la droite. J'ai déboutonné ma chemise lentement, déserré ma ceinture, déboutonné le pantalon et baissé le pantalon. Laurent était à 3 mètres de moi, ne perdait rien de la scène et évidemment son regard était définitivement planté sur ma queue. Pouvait-il voir la légère trace de mouille sur mon slip ? Je ne le saurai jamais. J'étais en slip à moitié débandé et je le regardais tel un gosse qu'on laisse dans une maternelle pour la première fois. Apeuré de me trouver dans une situation aussi embarrassante devant quelqu'un que vous estimiez plus que tout et pour lequel vous ressentiez quelque chose comme un mélange de tendresse, de camaraderie, d'amour et de sexe. Je voulais à la fois être son père et sa mère, son frère et sa soeur, son mec et sa femme. Trop compliqué. Il me dit alors : "retire ton slip" J'ai alors baissé mon slip, laissant apparaître ma queue et mes couilles, j'étais enfin nu devant lui. Il me dit alors de m'allonger sur le canapé et commença à me shooter. J'avais un peu perdu la ligne ces temps ci, depuis que je n'allais plus régulièrement à la gym, qu'Olivier était parti à Mtp, et que le whisky coke était à volonté chez moi. J'avais totalement confiance en Laurent. Finalement, tout ça n'était qu'un jeu d'ombres et de lumières et de photoshop aussi. J'espérais seulement ne pas avoir l'air trop grosse truie sur les photos. Soudain, j'entendis "écarte les cuisses ! Oui comme ça!" Je m'exécutais en même temps que je le voyais au dessus de moi. Le bouton de son 501 avait sauté et je pouvais entrevoir les poils de son pubis. Instinctivement, j'accompagnais mon mouvement en fixant mon index sur l'anus. Oui comme ça! allez doigte-toi. Moi allongé, je mis mes doigts dans la bouche et commença à entrer un doigt dans l'anus. je voyais bien que sa braguette était gonflée à bloc et lorsqu'il fut assez près de moi, j'entrepris de lui défaire les derniers boutons. Sa queue s'était libérée de son caleçon à travers l'ouverture, je ne pus m'empêcher de la saisir et de la mettre dans la bouche. J'entendis alors son râle qui allait et venait dans ma bouche. Son cul enfin posé sur mon torse m'excitait, je carressai ses fesses douces alors qu'il allait et venait dans ma bouche. Avec mes doigts, j'essayai d'explorer ses fesses, alors que sa queue, de taille moyenne, me défonçait la bouche. J'essayais un doigt, puis deux, puis trois. J'ai toujours aimé travailler le cul des mecs, le pétrir, le caresser, l'ouvrir. Ca ne faisait plus aucun doutes, en vieillissant, je me révélai de plus en plus actif. Au bout d'un moment, je l'ai repoussé de mes mains. J'avais vraiment envie de ses fesses. Il s'exécuta et se mit à quatre pattes, la croupe tendue. La couleur de sa peau, légèrement mordorée et la douceur de sa peau participaient aussi à mon excitation. J'ai commencé par carresser cette petite toison de poils bruns avant d'y mettre la langue. Je le léchais jusqu'à rentrer complètement ma langue dans son anus ce qui lui provoqua des petits cris rauques. J'adorais ça découvrir l'odeur acre des vrais hommes. Au fur et à mesure que ma langue l'explorait, j'essayais aussi de l'ouvrir avec les doigts. Il s'ouvrit tranquillement mais sûrement. Je pris alors une capotte dans mon jean et une dosette de gel et je l'ai pénétré. Il a d'abord crié mais j'ai continué. En 2-2 ma queue était arrivée au fond de son anus et j'ai commencé alors mon pillonage. Putain, c'était trop bon. Je l'entendais crier et plus il criait, plus j'y allais. C'est dingue le sentiment de puissance qu'on peut ressentir à posséder ainsi un mec. Le sexe c'est la meilleure des cames.

Je m'étais préparé à ce moment en me branlant avant de venir. Non seulement ma queue était encore plus dure mais je mettais plus de temps à venir. C'était comme si mon corps s'était séparée de ma queue. Elle seule commandait. Je pouvais ainsi me branler des heures sans jouir. En l'occurence le Laurent, il devait bien les sentir mes 19cm au fond de ses reins. Au bout d'un moment, j'ai commencé à le branler en restant bien au fond de lui et rapidement je l'ai entendu hurler et j'ai senti son sperme chaud sur ma main me signifiant qu'il était temps que je me retire. N'en pouvant plus j'ai placé ma queue sur son dos et j'ai joui comme je n'avais jamais joui auparavant.

Nous avons dîné et le lendemain j'ai été réveillé en sentant un truc dur contre mes fesses. Laurent me glissa à l'oreille : "je veux ma revanche"